| Le point de vue du médecin algologue | |
| Rôle | 
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| Coopération  | Médecin traitant : médecin généraliste, spécialiste (médecin de médecine physique et de réadaptation (MPR), rhumatologue, médecin du sport, chirurgien, psychiatre …) Ostéopathe dans certains cas, pour faciliter le travail musculaire du kinésithérapeute | 
| Besoins 
 | Avis du médecin algologue à transmettre aux autres intervenants pour un suivi rapproché et coordonné 
 Avoir le bilan diagnostique kinésithérapique et le bilan isocinétique  | 
| Freins constatés 
 | Fausses croyances des médecins vis-à-vis du médecin algologue : 
 Retard à l’orientation vers le médecin algologue, souvent après un an d’évolution de la lombalgie avec pour conséquences : 
 Délai de consultation du médecin algologue souvent supérieur à 6 mois, qui peut diminuer si les patients lombalgiques sont vus plus tôt avec des douleurs moins « fixées » (cercle vertueux d’une prise en charge bio-psycho-sociale plus précoce) | 
| Messages clés | Anticiper : 
 Le médecin algologue peut être un acteur du maintien dans l’emploi s’il est sollicité plus précocement, en lien avec le médecin du travail et le médecin conseil | 
| Références | |